Après 16 années passées à la mairie de quartier de l’Europe en tant que responsable de l’accueil et de l’état civil, Sabrina Trébaol a pris en février dernier le relais d’Anaëlle Le Piolet au poste de secrétaire générale à Gouesnou. Une nouvelle aventure professionnelle qui colle parfaitement aux aspirations de ce « couteau suisse » !

Divers

Publié le lundi 27 mai 2024

En 2008, après une licence d’administration publique, Sabrina Trébaol obtient le concours de rédacteur et décroche le poste de responsable de l’accueil à la mairie de quartier de l’Europe à Brest. « C’était mon premier poste et j’y suis restée 16 ans ! J’encadrais une équipe de quatre agents d’accueil, j’effectuais de la veille juridique, j’écrivais des procédures, je gérais le secrétariat du maire-adjoint et j’étais aussi adjointe au responsable de mairie avec tout le volet bâtiments, travaux, alarmes, clés… Un poste de « couteau suisse » que j’aimais beaucoup mais j’avais envie de changer d’environnement, de découvrir le fonctionnement d’une collectivité plus petite, d’être au plus près des instances, comme le conseil municipal, desquelles j’étais très éloignée dans mon ancien poste. »

 

Quand elle voit l’annonce pour le poste de secrétaire générale, celle qui décrit Gouesnou comme une ville dynamique, sportive, engagée sur l’environnement, se dit, « il est pour moi ! ». « C’est le seul sur lequel j’ai postulé, précise Sabrina Trébaol, et je suis vraiment très heureuse d’avoir été choisie. Je voulais un poste qui laisse la part belle à l’imprévu, comme dans mon ancienne fonction où je ne savais jamais vraiment ce qui allait arriver dans la journée. Un poste où l’on ne voit pas le temps passer, où je puisse être en connexion avec les collègues de tous les services et différents publics. C’est le cas à Gouesnou avec, en plus, le lien avec les élus. »

 

Après plusieurs semaines dans son nouveau poste Sabrina confirme tout sourire : « il correspond à toutes mes attentes, je ne regrette vraiment pas mon choix ! Je voudrais aussi, sans langue de bois, souligner la qualité de l’accueil qui m’a été réservé. Cela fait du bien à 40 ans de se remettre en mouvement, en question, même si ça peut faire peur. Je sais que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre, à découvrir sur ce poste, mais je suis bien accompagnée, donc tout va bien se passer ! »

 

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